Pour profiter en toute décontraction de bons moments en famille à la retraite, il faut s’être préparé suffisamment tôt.
Pour profiter en toute décontraction de bons moments en famille à la retraite, il faut s’être préparé suffisamment tôt. (Image: Vaudoise Assurances)
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«Il est conseillé de commencer à planifier sa retraite dès 50 ans»

Après 40 ans ou plus passés à travailler, chacun aspire à une retraite sereine. Il est toutefois compliqué de connaître à l'avance et avec précision sa situation financière à ce moment. Quelques pistes et conseils avec un expert de la Vaudoise Assurances.

Valérie et Frédéric* sont tous deux quinquagénaires. Mariés depuis vingt-cinq ans et parents d’enfants qui ont quitté le nid familial, ils commencent à penser à la prochaine grande étape de leur vie: la retraite. Valérie et Frédéric sont plutôt confiants. Mais ils se demandent: aurons-nous assez d’argent pour nos projets? Pourrons-nous voyager? De nombreux futurs retraités se posent ces mêmes questions. Car entre AVS, LPP et 3e pilier, il n’est pas toujours aisé de s’y retrouver. «Nous remarquons, en effet, beaucoup d’incertitude ou d’incompréhension chez nos clients», relève Ralf Plänkers, chef de la division Assurance Vie chez Vaudoise Assurances. «Il est souvent compliqué de comprendre, par exemple, son certificat de caisse de pension. Les gens partent alors du principe que tout va fonctionner. Ou ils se basent sur les conseils, bienveillants mais pas toujours exacts, de connaissances. Or, il serait plus judicieux de faire analyser sa situation personnelle par un spécialiste.»

Pourtant, Valérie et Frédéric s’intéressent au sujet et s’informent régulièrement. Ils ont notamment compris que le vœu du législateur est que les deux piliers obligatoires (AVS et LPP) assurent 60 à 80% du revenu avant la retraite. «Mais dans les faits, beaucoup vont se retrouver avec 55% ou moins», souligne Ralf Plänkers. «Par ailleurs, les taux de conversion de la LPP, utilisés pour convertir l’avoir du 2e pilier en rente, ont tendance à baisser. S’ils se situent aujourd’hui à 6,8%, le parlement souhaite les faire passer à 6%.» Et les caisses de pension n’ont pas attendu les décisions politiques pour agir. «En tenant compte de la part surobligatoire de la LPP, le taux moyen en Suisse est d’environ 5,7%», prévient l’expert. Conséquence: le couple touchera sans doute moins d’argent que ce qu’il avait estimé quand tous deux auront atteint l’âge de la retraite. Valérie et Frédéric doivent alors se poser les bonnes questions, le plus tôt possible. Dans le cas de ces quinquagénaires, le moment est bien choisi, car «il faudrait commencer à planifier sa retraite dès 50 ans», confirme l’expert. «Et pour cela, un conseil personnalisé reste la meilleure solution.»

Le 3e pilier, la bonne solution?

Le couple est heureusement prévoyant et cotise depuis de nombreuses années à un 3e pilier. Or, selon des études, 25% des Suisses entre 18 et 65 ans n’en ont pas. Pourtant, les avantages sont multiples. D’abord, il permet de bénéficier d'économies d’impôts pendant toute la période de cotisation. Ensuite, «il aide à épargner et «contraint» les plus dépensiers à mettre de l’argent de côté», précise Ralf Plänkers. L’idéal serait de commencer dès l’entrée dans la vie active et de progressivement augmenter les sommes. «Aux alentours de 40 ans, il devrait être envisagé, dans la mesure du possible, d’épargner le maximum déductible aux impôts (ndlr: 6883 francs en 2021). On s’assure ainsi un complément de trésorerie non-négligeable à l’arrivée à la retraite, qui peut atteindre plus de 200'000 francs si l'avoir est investi de manière prudente.


LPP: rente ou capital?

Quand Valérie et Frédéric auront atteint respectivement l’âge de 64 et 65 ans, ils devront choisir entre toucher leur LPP sous forme de rente ou de capital. Comment se décideront-ils? «Cela dépend de la situation de chacun», explique l’expert, qui identifie toutefois trois axes de réflexion. «D’abord, l’angle fiscal. Si on choisit une rente, elle sera taxée comme un revenu. Si on choisit le capital, il ne sera imposé qu’une seule fois lors du versement, à un taux réduit. Le versement échelonné du capital est aussi une option souvent plus avantageuse.» Ensuite il faut penser à ses héritiers: «En cas de décès, le capital reste dans la famille. Dans le cas de la rente, les héritiers ne toucheront que peu.» Enfin, il faut se demander quel niveau de vie on souhaite avoir à la retraite. «Avec la rente, elle sera fixe jusqu’au décès. De plus, si on prévoit d’être actif, de voyager pendant les premières années de retraite, dans ce cas, le capital offre plus de flexibilité. Un mix rente-capital peut être un bon compromis: la rente assure le long terme et le capital permet de lutter contre l’inflation.»

Racheter des années de cotisation LPP?

Selon l’évolution de leur salaire, nombre de personnes ont la possibilité de réaliser des économies d’impôts en rachetant des années de cotisation dans leur caisse de pension. Cette opération réduit en effet leur revenu imposable. C’est le cas de Valérie et Frédéric. Toutefois, si l’idée semble bonne au premier abord, ce n’est pas forcément la meilleure: «Ici aussi, cela dépend de la situation de chacun. Selon l’âge ou la solidité et les prestations offertes par la caisse de pension, le 3e pilier peut s’avérer plus avantageux. Un professionnel se penchera par exemple sur la question du taux d’intérêt pour la partie surobligatoire pour les conseiller», assure Ralf Plänkers.

Quid de la retraite anticipée?

Valérie et Frédéric travaillent tous les deux depuis plus de trente ans. Et l’idée de s’arrêter avant l’âge officiel de la retraite leur a déjà traversé l’esprit à de nombreuses reprises. «C’est une décision qui a un fort impact sur les prestations de retraite», prévient l’expert. «Peut-être vaut-il mieux commencer par réduire son temps de travail, dans le but de s’assurer une rente moins impactée à la fin. Il n’y a qu’en faisant analyser sa situation personnelle par un spécialiste que vous saurez si c’est envisageable ou non.» Rappelons aussi qu’une retraite anticipée ne dispense pas de cotiser à l’AVS et que, selon le 3e pilier choisi, il n’est pas possible d’en bénéficier avant l’âge officiel de la retraite.

*Prénoms d’emprunt

Une solution pour tous 

Quel 3e pilier choisir? J’ai envie d’investir en vue de ma retraite, mais je ne sais pas comment m'y prendre. Dois-je racheter des années de cotisation LPP? À la Vaudoise, il existe des solutions flexibles et adaptées pour chacune de ces situations. Les conseillers de la Vaudoise sont à disposition pour un conseil sans engagement, personnalisé à votre situation de prévoyance, quels que soient vos besoins. Plus d’informations sur www.vaudoise.ch.

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Ce contenu a été produit par le Commercial Publishing, en collaboration avec Vaudoise Assurances. Le Commercial Publishing est le département de Content Marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia.

Le Groupe Vaudoise Assurances 

Fondée en 1895, la Vaudoise assure les clients privés et entreprises dans toute la Suisse. La clientèle trouve auprès de son réseau de plus de 100 agences un service de proximité tant en matière de conseil en assurances et en prévoyance que de règlement des sinistres. Elle emploie plus de 1650 collaborateurs, dont une centaine de personnes en formation. Fidèle à ses origines mutualistes, elle verse chaque année une partie de ses bénéfices, en alternance aux assurés Véhicule à moteur et Responsabilité civile/Choses, équivalant à un rabais de prime respectivement de 10% et 20%. En 2020, ce sont ainsi 34 millions qui sont redistribués.